AU MILIEU DE LA FORÊT

16h37, Le 05/08/21

Il y a eu des moments de simplicité excitants, d’autres où l’espoir s’évaporait. La réussite et l’échec y sont pour beaucoup : certes à chaque adversité dépassée, l’élan se fluidifie. Mais l’obstacle nouveau rend coupable : Comment ai-je pu prétendre réussir ? Suis-je à la hauteur ? Ai-je les compétences ?


Les coupables de cette tyrannie ? Notre société et ses standards. L’absence de doute n’existe pas, J’ai l’impression que ce sentiment fluctue. L’optimisme, lui, est fébrile, c’est un compagnon incertain.
Je m’assoie, mes deux amis se querellent. Alors je jette une pièce en l’air, la rattrape, et découvre deux faces intrinsèquement liées : Le doute et la certitude. L’un ne va pas sans l’autre. Et la justesse se dessine sur la tranche.


Chaque inquiétude voile en son sein une conviction future. Le doute comme une chrysalide, et l’envoi comme une certitude. Un moine Shaolin fend l’air avec souplesse, le doute comme un corps en déséquilibre, stabilisé par un pied ancré au sol. Je serre le poing rasséréné, et brise d’un coup sec l’hésitation : Je doute, j’affirme, j’avance.


Les coupables de cette tyrannie ? Notre société et ses standards. L’absence de doute n’existe pas, J’ai l’impression que ce sentiment fluctue. L’optimisme, lui, est fébrile, c’est un compagnon incertain.


Je m’assoie, mes deux amis se querellent. Alors je jette une pièce en l’air, la rattrape, et découvre deux faces intrinsèquement liées : Le doute et la certitude. L’un ne va pas sans l’autre. Et la justesse se dessine sur la tranche.


Chaque inquiétude voile en son sein une conviction future. Le doute comme une chrysalide, et l’envoi comme une certitude. Un moine Shaolin fend l’air avec souplesse, le doute comme un corps en déséquilibre, stabilisé par un pied ancré au sol.

Je serre le poing rasséréné, et brise d’un coup sec l’hésitation : Je doute, j’affirme, j’avance.

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